lundi 23 février 2009

3 et fin


Me voici de retour à Paris après une belle semaine en Andalousie quelque peu hors du monde.
Pour finir je suis allée explorer le Palais d'Alcazar et ses jardins et c'est encore l'une des plus belle chose que j'ai pu voir de mes yeux (j'ai l'impression de me répeter :) ) Cet endroit est un bon avant goût d'un Paradis que l'on pourrait esperer: Des arbres, des fontaines, des fleurs et des fruits à perte de vue. Un labyrinthe où l'on ne pensait pas se perdre avant de chercher la sortie pendant un long moment... Ce lieu est hors du temps, hors de tout. Il pourrait y avoir la fin du monde au dehors que l'on ne le ressentirait pas.
Et puis pour faire les choses bien j'aurais mis, au moins une fois dans ma vie, les pieds à une soirée Erasmus. Ce genre truc qui resonne un peu comme un fantasme, quelque chose que l'on veut faire, un jour, même une seule fois. Je ne sais pas trop d'où ça vient, peut-être ou sans doute de l'Auberge Espagnole.

En tous cas on y est allé... Après avoir pris un ou... 3 verres d'une sangria un peu bizarre mais bonne à l'exterieur d'un petit bar qui utilise toute une place pour que la moitié de la ville s'y retrouve et picoler.
La soirée Erasmus avait pour theme, "7 Nations Army" toutes les demi heure, la musique et les boissons changaient en fonction du pays. Il y avait les Etats-Unis, le Bresil, la France, l'Allemagne, l'Angleterre, l'Italie et l'Espagne.
Après avoir bu un "Obama's Rock" tout bleu (photo en dessous) nous etions sur la piste. Mais malheureusement cette soirée n'était rien d'autre qu'une soirée "gibier" ce qui me fatigue à tous les coups. Mecs renards et filles chaudasses c'est aussi ça les soirées étudiantes. Bof. J'ai aussi réalisé à quel point la loi d'interdiction de fumer dans les lieux public est un bonheur car ce n'est pas le cas en Espagne et une petite boite enfumée c'est vraiment insuportable: Yeux qui piquent, fringues qui puent, cheveux sales. Re bof.
A part ça, recherche intensive d'appartements à travers la ville, allers et retours à la Fac de M. pour son inscription. Compliquée bien entendu: Papiers manquants, secretaires désagréables, dossier perdu, personne au courant, là encore c'était vraiment l'Auberge Espagnole.

J'ai laissé ma pote là-bas, elle ne reviendra pas de si tôt. Moi, il y a moyen que j'y remette les pieds...

cha la la la la... Que viva la noche

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